Wingei - Endler's

Le Endler's - Lignée sauvage d'hybride naturel 

Le Endler's a un patron de couleurs qui lui est propre
     C’est Mr John Endler, professeur de biologie à l'université californienne de Santa Barbara, qui découvert de petit ovovivipare en 1975 au nord-est du Venezuela, dans la lagune de Los Patos, près de la ville portuaire de Cumana. A son retour, Mr Endler donna quelques exemplaires des ses poissons de Cumana au taxonomiste Don Éric Rosen, qui avait pour mission les décrire. Mais Rosen mourra avant la fin de son travail. Cest donc Mr Klauss Kallman, de l'aquarium de New York, qui hérita d’une partie de ces vivipares qu’il jugea intéressants.



     De là, il commença finalement a les distribuer sous le nom de « Endler’s livebearer » (Ang. = vivipare de Endler) ou « Poecilia Endlers » aux aquariophiles.On découvrira plus tard, que les poissons péché par Mr Endler on été péché dans une zone d'hybrides naturels wingei/guppy. Bien qu’ils aient l’allure des Wingei, les « Endler’s » ne seraient pas des wingei 100% pur jus (a prendre au conditionnel). A force des multiples croisements et d’hybridation, on trouve aujourd’hui dans le commerce une multitude de patrons différents sous lesquels on trouve l’étiquette de « Endlers ».


Un Endler's très proche du type original


     Mais des lignées de « Endler’s » original circules encore grasse a l’acharnement et a la rigueur de quelque éleveurs / collectionneurs consciencieux. La femelle Endler’s est dépourvu de couleur, elle est grise en totalité. Le male dont la forme s’apparente aux autres Wingei, possède une légendaire « virgule » noire et bien marqué de chaque coté de ses flans. De chaque coté de cette « virgule » sont plaquées deux lignes rouge-vif/orangé. A la base de la caudale ce trouve une tache beu/vert métallique. La dorsale qui est généralement transparente, peu contenir une petite trace bleutée a la base. Sa queue courte et transparente, est bordée de rouge laissant à penser deux petites épées souvent asymétriques.